Une chaîne de production en plein travail. Un stock d’image projeté, dupliqué, exposé, reproduit et ré-exposé… Dans une belle suite d’enchaînements technologiques, Replicata met en jeu l’autocannibalisme de l’archive visuelle. De la perte de qualité à ses transformations et déformations, jusqu’à l’effacement progressif.


Performance de Guillaume Brunet, Vincent Pouplard et Carole Thibaud

(scanner, projecteurs, imprimantes, diapositives et dispositif sonore)

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C’est un travail (ou une ébauche) sur l’archive et le souvenir ou l’histoire transformés.

C’est sonore, c’est photographique et c’est photocopié jusqu’à effacement.

C’est un travestissement, une appropriation, un détournement, une détérioration, une mise à jour d’archives ou d’œuvres.

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PARCE QUE LES IMAGES SERVENT A QUOI ? ET PUIS QUI S’EN SERT ? ET PUIS COMMENT ON LES REGARDE ? ET PUIS COMMENT ON S’EN SOUVIENT ? ET PUIS ON LES OUBLIE ?

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8 décembre 2013 - Hab Galerie, Nantes (En partenariat avec le Musée des Beaux-Arts de Nantes dans le cadre de l’exposition “De leur temps”)

juillet 2013 - Le lieu unique, Nantes (Summerlab, Ping)